[PJ 2 de Riika] Abumi Zaku

J'ai cédé à la mode ^^' (je la mets en deux messages)

1) A quel Village votre personnage appartient-il ?

Zaku Abumi est un shinobi appartenant un "village caché" créé par Orochimaru, Oto no Kuni. Il n’y prête d’ailleurs pas vraiment attention, se contentant de comprendre que c’est le repère fondé par la personne à laquelle il doit son existence actuelle.

2) Comment décririez vous votre personnage? ?

Zaku est un adolescent de quatorze ans ou dans les environs. Mesurant un mètre cinquante-sept pour quarante-neuf kilogramme, il est quelqu’un de plutôt bien proportionné et agile, dû en grande partie à son passé. Le teint pâle mais pas blanc, plutôt genre pêche, il arbore une chevelure corbeau et haute, quelque peu rejetée en arrière et maintenue pas son bandeau. Les cheveux courent le long de sa nuque jusqu’à effleurer l’écharpe qui lui enserre la gorge. Son cou est fin, ses épaules fines et presque droites. Son visage est fin, son regard portant toujours cette étincelle de dédain voire de totale égoïsme, ses yeux bridés aux pupilles de petite taille semblant percer tout ce qui se trouve sur son chemin. A force de les plisser et de froncer les sourcils, de petites cernes indélébiles se sont formées, soulignant ses paupières et lui donnant un aspect encore plus mesquin. La première chose que l’on peut se dire en le voyant est qu’il n’est sans doute pas quelqu’un de très recommandable. Dernier détail mais pas des moindres, au beau milieu de ses paumes, on peut distinguer un trou à bordure métallique. L’adolescent se trouve en effet en possession, suite à une opération, d’un tube dans chaque bras, se prolongeant quasiment jusqu’au coude, duquel il peut expulser des ondes sonores. Il est droitier, portant son étui à shuriken sur des bandages à la cuisse du même côté.

Concernant les vêtements, il revêt une tunique un peu comme un uniforme, composé d’un pantalon et d’un vêtement surgissant de sa tunique beige, semblant lui former une écharpe. Cet habit est grisé avec des tâches noires un peu comme si on avait renversé un encrier sur le tissu jusqu’à former ce motif. Son bandeau frontal est équipé de deux protections supplémentaires qui se plaquent contre ses tempes et jusque sous les pommettes, donnant un aspect de casque. Au-dessus de son habit gris, il porte une tunique beige ou marron pâle, arborant des signes signifiant « Shi » ou mort. Le tissu semble étudié pour ne pas trop flotter quand il se met en mouvement, n’ondulant que très peu, à moins d’un coup de vent violent. Les chaussures sont un modèle pour shinobi standard.

3) Votre perso est-il un Combattant ou un Médecin ?

Cogner, se battre, se relever avec des bleus et mettre hors combat son adversaire puis partir sans se soucier du fait qu’il saigne, telle est la façon de faire de Zaku. La réponse se présente d’elle-même, c’est un combattant appliquant parfaitement ce qualificatif à sa façon d’agir.
De plus, pour soigner, il faut savoir rester focalisé sur la plaie et être patient jusqu’à ce que cette dernière soir fermée, or, pour Zaku, c’est perdre un temps insupportable en combat. Il peut se faire soigner mais soigner les autres, à part avec des onguents de soins ou des remèdes ninjas, ne fait pas partie de ses priorités.

4) Quelle enfance a eut votre perso ?

Premier souvenir, celui d’une soirée nuageuse et froide, un sol glacé contre sa joue. Qu’est-ce qu’il faisait là ? Pieds nus et écorchés ? Le corps endolori ? Quel jour était-on au fait ? Vêtu d’une sorte de kimono d’été effiloché et rapiécé avant d’avoir été jeté aux ordures, le gamin se relevait difficilement, ses genoux égratignés et ses mains lésées par les bouts de verre sur lesquels il était tombé. Le petit village dans lequel il avait vu le jour n’était pas tendre avec lui, ses parents ayant sans doute été un couple adultère ou que sait-on encore ? Depuis son plus jeune âge, le garçon était seul dans les rues, parfois pris en pitié par une vieille femme qui lui donnait un surnom, une petite forme d’éducation en lui apprenant à compter et à lire les signes, ou de la nourriture mais sitôt qu’il tentait de s’intégrer comme un membre de sa famille, il se faisait rejeter avec violence, parfois à coup de bâton. A l’âge de raison, donc vers sept ans, il rejoignit une petite bande de gamins aussi pouilleux que lui, les suivant quand ils se déplaçaient en une sorte de meute de laquelle les adultes s’écartaient prudemment ou avec dégoût même. Mendiant, recevant des coups ou des insultes, les enfants enduraient tout et s’endurcissaient à chaque confrontation, chaque gifle, chaque insulte, chaque regard méprisant.

Le quotidien n’était que violence, épreuve de courage et de force mais également d’envie de survivre. Lorsqu’il eut atteint environ l’âge de dix ans, le gamin brun, après avoir chipé un sac de fruits et gagné un toit en toute sécurité, regardait le village en effervescence. En bas, il reconnut l’un des enfants avec qui il partageait un vieil entrepôt abandonné en tant que planque. Ce gamin qu’il considérait comme un compagnon d’infortune, était suivi de trois adultes armés et portant un insigne honni, celui des forces de l’ordre. Non loin, des cages sur chariots s’avançaient, ne signifiant qu’une chose possible... Aplati sur son toit, le gamin brun regardait toute la scène, suffisamment caché pour ne pas se faire remarquer. Un par un, tous les enfants furent sortis de la planque et envoyés dans les cages, y compris celui qui avait trahi toute la bande. Après cela, la bâtisse fut brûlée, provoquant le premier des nombreux plissements d’yeux qui marqueraient le visage de du jeune garçon. Crachant un pépin, il resta allongé sur le toit jusqu’au petit matin, craignant le retour des forces de l’ordre. Rien ne vint et il finit par quitter son perchoir, traversant à l’aube une ruelle puante des déchets délaissés par les villageois. Une aubaine pour son estomac vide. Ni une ni deux, il se jeta à l’assaut des poubelles, écartant couvercles et boîtes vides quand il fut interrompu par un homme de bonne taille et corpulence, soigneusement coiffé et vêtu, sa bedaine transparaissant sous ses vêtements. Nouveau plissement d’yeux, surtout quand l’homme s’avança vers lui, un bâton dans une main, un rouleau immaculé dans l’autre.

Beurk, encore un rat sans nom… Sais-tu ce que c’est ça ? Fit-il en le toisant et lui montrant le rouleau.

…

Ceci est la preuve de qui je suis ! Moi j’existe, j’ai un nom, pas comme toi sale bête ! Je vais me charger de nettoyer le coin de ton espèce, horrible chose !

L’enfant ne lui avait pourtant rien fait à ce gros tas, il ne lui avait même pas fait les poches, c’était dire s’il était innocent ! Esquivant le coup de bâton, le morveux tacla son adversaire qui tenta de se redresser vainement, allant se heurter violemment contre un mur. Sans aucune hésitation, le gosse au vêtement rapiécé lui bondit dessus, assénant un coup de coude d’une extrême violence sur les cervicales de l’homme. Il recommença, une nouvelle fois et encore puis une troisième et ne s’arrêta qu’à bout de souffle, une fois la nuque de l’homme en pièces. Tremblant devant ce qu’il avait fait, le gamin attrapa le rouleau et l’ouvrit. A l’intérieur, une série de noms étaient reliés par des traits, jusqu’au bout où le nom le plus récent, sans doute celui de sa victime, « Zaku Abumi » était inscrit. Jetant un regard dédaigneux au cadavre, Zaku s’empara de ce nom et tourna les talons, doté d’une toute nouvelle identité. La suite de son enfance se fit crescendo dans son égo. Plus hardi, sûr de lui, le garçon n’hésitait plus à piquer des marchandises sous le nez des vendeurs qui avaient beau tenter de le pourchasser, tel un animal, le voleur escaladait les murs, se faufilait entre des grilles et grimpait sur des toits, échappant toujours à ses poursuivants. Peu à peu, à mesure qu’il réussissait ses forfaits, il s’enhardissait, au point de narguer les forces de l’ordre si ces dernières se trouvaient dans les environs. Jour après jour, il finissait par se faire reconnaître de citoyens lambda, à tel point qu’il n’y avait guère que les étrangers qu’il puisse attaquer sans risques.

Vint un jour, vers ses treize années, où justement un étranger croisa son chemin. Un homme bizarre, assez effrayant avec un regard de tueur et une chevelure longue et noire, de drôles de boucles aux oreilles. Sûr de son coup, Zaku le bouscula légèrement et fila droit devant lui, un petit sac en main, n’entendant pas la personne lui courir après ou même pester. Fuyant sa victime, le félon s’engouffra dans une ruelle sombre et attendit un peu avant d’ouvrir la bourse. Devant lui, comme un diable mécanique, la tête de l’homme sortit du sac, le surprenant tant qu’il fit une chute en arrière, scrutant le sac de toile qu’une main blanche ou grisée reprenait avec tranquillité. La voix aigre-douce de cette personne le charma, flattant un peu son estime de lui-même en admirant ses qualités. Cet homme se désigna sous le nom d’Orochimaru, recherchant semblait-il de jeunes talents comme lui, pour entrer à son service et quitter cet endroit misérable. L’adolescent n’hésita pas un instant en apercevant la silhouette d’adultes avec de bien plus mauvaises intentions. L’homme, car c’en était un, se dit également ninja, un type de combattants manipulant de l’énergie pour exécuter des coups bien plus impressionnants que de simples frappes. Grandement excité par cette idée, Zaku rallia ses rangs avec l’enthousiasme que procurait l’envie d’être reconnu par quelqu’un, pour ses capacités.

Peu après, suite à une opération pratiquée sur ses avant-bras, le jeune brun se retrouva doté de la capacité de projeter du son via des tuyaux. Les premiers jours, l’air vibrant dans ses bras le faisait atrocement souffrir mais plus que tout, pour être aux yeux de son maître comme un disciple digne de ce nom, il s’efforçait d’endurer et de s’entraîner. Lorsqu’il parvint à maîtriser ses avant-bras, il reçut l’insigne de son appartenance au groupe du Serpent, le bandeau du village caché d’Oto no Kuni.

5) Quelle est la principale motivation de votre personnage? ?

Zaku est en quête de la chose sans doute la plus impossible qui soit, que son maître Orochimaru le reconnaisse en tant que ninja et pour ses capacités de combat, pas comme les autres pions qu’il a employé jadis et emploie encore.

En plein combat, même s’il se trouve aux portes de la mort, il a une fierté telle qu’il n’abandonne jamais, quitte à sacrifier une partie de son corps voire se blesser sévèrement pour affaiblir ou annihiler son adversaire.

6)Quelle est la personne en laquelle votre perso a le plus confiance? ?

La seule personne en qui il ait une confiance totale c’est lui-même, ayant vécu seul et dépendant de lui pendant très longtemps, il en a développé une méfiance et un dédain certain pour les autres. Orochimaru n’a pas droit à sa confiance, pour le moment, il entretient avec lui une relation de maître et serviteur, davantage effrayé par son supérieur que réellement capable de dormir dans la même pièce que lui.

7)Quel est le point fort de votre perso? Sa plus grande faiblesse ?

Le point fort de ce jeune shinobi est qu’il n’abandonne jamais un combat que lorsqu’il est arrivé à la limite de ses forces. Si un adversaire le met en difficulté, il est capable de faire abstraction de sa propre volonté de vivre pour le battre. Bien qu’il ne se préoccupe pas des autres, lorsque quelqu’un tente de s’en prendre à lui via un équipier, il fera tout pour lui mettre des bâtons dans les roues, quitte à supprimer son camarade si ce dernier s’avère gênant.

Sa plus grande faiblesse est qu’il est sûr de lui, trop d’ailleurs puisqu’il a tendance à rabaisser les autres avec arrogance. Blesser les autres ne lui pose pas de problème si cela lui permet d’atteindre son but, sa philosophie étant du genre « tous ceux qui ne sont pas utiles, à moi ou Orochimaru-sama, sont des poids morts ».

8 ) Que pense votre perso du code ninja ?

Code ninja ? Ce ne sont que des mots sur un bout de papier ! Si les autres suivent ces directives au pied de la lettre, ils en deviendront terriblement prévisibles. Zaku ne prend en compte le code que lorsque ce dernier l’arrange ou l’appuie dans ses décisions, notamment la partie concernant l’abandon des équipiers s’ils mettent la mission en péril, qui ne le gêne absolument pas. Il n’y a guère que la partie concernant les émotions qui le chagrine un peu, partie qu’il relègue non pas au second plan mais bien plus loin derrière. En vérité, il se moque complètement de ce genre de choses. S’il veut piquer une crise, il le fera, point barre.

9) Quelle opinion se fait votre perso de son propre village ?

Le village, les autres shinobis à part lui, Zaku s’en moque tant qu’ils ne sont pas sous ses ordres ou dans son équipe. Il voit davantage l’organisation comme un cercle autour de la figure d’Orochimaru qu’un véritable village ninja avec ses écoles et ses gentils professeurs attentionnés et patients. Du moment qu’il a de quoi développer ses capacités et qu’il sent que leur dirigeant le regarde, il se sent comme chez lui.

10) Votre perso a-t-il des préjugés ?

Zaku pense que ceux qui n’ont pas vécu comme lui dans la misère ne sont que des gens méprisables, à qui tout a toujours sourit et que jamais aucune misère ne pourra égaler la sienne. L’expérience de la rue est la meilleure mise à l’épreuve pour un être humain digne de ce nom, lui permettant de se rendre compte de sa force et de sa détermination à survivre. Ceux qui ont toujours vécu dans des maisons et dans le confort n’auront jamais cette rage de vivre qui l’anime ni la confiance en soi que lui-même ressent. C'est en vivant ainsi qu'on développe ses aptitudes à prendre aux faibles ce que ces derniers sont dans l'incapacité de défendre.

11) Envers qui votre perso est-il le plus loyal ?

Pour cette question-ci, nul doute que le shinobi servirait Orochimaru jusqu’à son trépas et même au-delà si ce dernier le souhaitait. Ensuite ce serait encore une fois lui-même, sachant qu’à lui il peut se faire confiance, connaissant ses capacités et sa propre force de caractère. De son point de vue, on ne peut être loyal qu’envers des gens plus puissant que soi et qui ont un tant soit peu d’intérêt pour qui l’on est. Jamais il ne se montrera ainsi pour un shinobi de son niveau ou plus bas encore.

12) Quels sont les goûts de votre perso ?

Les goûts de ce shinobi sont issus en droite ligne de son vécu, à savoir qu’il aime les plats pas chers, amasser discrètement de l’argent quand c’est possible sans pour autant être avare au point de se laisser acheter par des pots-de-vin. Il aime se sentir en pleine possession de ses moyens, sentir la crainte dans les attitudes de ses adversaires, voire se savoir en total contrôle de la situation. Il jubilerait presque en constatant les regards désabusés ou surpris des gens subissant ses techniques de son. Plus que tout, il aime tous les types de confrontations, que ce soit moral, verbal ou aux poings.

Ce qu’il déteste le plus, jusqu’à lui faire perdre ses moyens, c’est que quelqu’un lui donne des leçons ou le prenne pour un demeuré. Il a tendance à s’emporter aussi quand on tente de faire pression sur lui en employant un équipier en otage par exemple. Il se mettrait en colère non pas parce qu'il tient à la personne menacée mais tout bonnement parce que son adversaire le croirait assez stupide pour être lié à quelqu’un, au point d’être privé d’échappatoire si cette personne était menacée. Qu’on le traite comme un crétin, quelqu’un d’inférieur ou de faible le vexe également rapidement. C’est un garçon très instable, dans le sens où il s’enflamme rapidement.

13) Votre perso a-t-il des manies ?

Généralement, ce shinobi n’affiche pas sa nervosité tout bonnement parce qu’il n’a jamais été confronté à celle-ci. Par contre, s’il est surprit, il aura tendance à ouvrir en grand la bouche et pointer du doigt ce qui le choque ou garder les yeux rivés dessus. Sa peur se manifeste par un léger tremblement de la lèvre inférieure et un regard cherchant un échappatoire à tout prix. La seule tendance qu’il a en permanence c’est de plisser les yeux et faire remonter sa paupière du bas, sans se rendre compte que c’est ce qui est à l’origine de ses cernes naissantes.

S’il devait saluer quelqu’un, il garderait la main droite sur sa hanche, lèverait haut la gauche en penchant la tête vers la personne qu’il saluerait, un petit sourire en coin sur les lèvres. Pour dire au revoir, il tendrait la paume de sa main droite vers la personne, mettant en évidence le tube qui s’y cache tout en penchant un peu la tête vers son épaule gauche, son visage effleurant son « écharpe ». Son au revoir sert aussi à signifier une sorte de « notre relation s’arrête ici pour aujourd’hui, tu me suis encore, t’es mal », tant son geste semble vouloir repousser son interlocuteur.

14) Comment caractériser la psychologie de votre perso ?

Ce garçon est quelqu’un de très susceptible, qui prend la mouche lorsque ses capacités sont mises en doute ou rabaissées. C’est un peu un gamin qui a du grandir trop vite sans pouvoir profiter de son innocence d’enfant. De ce fait, il joue en permanence les durs et même s’il semble affirmer avec force ce qu’il croit, il se sent obligé de se justifier en permanence comme un gamin prit en faute. Imbu de sa personne malgré cela, il ne respecte en aucun cas la politesse, tutoyant tous ceux qu’il pense être moins débrouillards ou forts que lui-même. Il n’y a guère que les plus gradés ou Orochimaru avec qui il évite ce genre de choses.

Il a un sérieux problème avec l’autorité, n’acceptant pas les ordres allant à l’encontre de sa façon d’agir, sauf si le raisonnement ou la personne est respectée par lui ou la majorité. Il est du genre à faire ce qui lui chante tant que cela corrobore les intentions de la hiérarchie.

15) Comment votre perso traiterait-il un eleve/ninja desobeissant?

Si un ninja qu’il considère comme inférieur fait une bourde monumentale, même ( et surtout ) aux yeux de la hiérarchie, Zaku serait sans doute du style à lui coller quelques coups bien douloureux, juste pour se défouler et bien faire savoir que « les sous-merdes qui font tout de travers ne font jamais long feu en cas de coup dur ». Il finirait sans doute par se moquer de la personne ou la trainer plus bas que terre en lui rappelant coup sur coup ce qu’elle avait fait comme erreur, donnant des leçons via des piques cinglantes ou deux trois bons crochets dans le ventre.

16) Comment les parents de votre perso le décriraient-ils?

N’ayant ni l’un ni l’autre de ses géniteurs, ne considérant personne comme sa famille, on ne peut pas dire qu’il y ait grand-monde pour témoigner de son rapport aux autres. Cependant, si on demandait à l’un de ses anciens compagnons des rues ce qu’il en pensait, il dirait sûrement que Zaku a un caractère aussi stable d’une bouteille de nitroglycérine sur une pente rocailleuse. Autrement dit, il est de la trempe de ceux qui s’enflamment pour un rien (en bien ou en mal) mais lorsqu’il a une idée en tête, il n’est pas du genre à abandonner à la première difficulté. De même lorsqu’il se sait trop faible contre quelqu’un, il en fera totalement abstraction pour se lancer corps et âme dans la bataille.

17)Quelles sont les plus grandes aspirations de votre perso ?

Sa plus grande motivation est d’être reconnu comme un shinobi méritant aux yeux du chef d’Oto, quitte à s’embarquer dans des missions trop difficiles pour lui ou à en revenir à demi mort. Il veut prouver à cette personne qu’elle a bien fait de le tirer des rues boueuses et sombres ainsi que de l’avoir formé en tant que ninja. Peu à peu, une autre motivation apparaît parallèlement, celle de ne grandir que pour lui, pour se prouver que même sans parents pour vous protéger ou sans l’amour d’une famille, on peut devenir fort et capable d’endurer beaucoup de choses. Autre chose, il compte bien trouver le moyen d’exploiter au maximum ses capacités du son, certain de pouvoir en tirer des avantages énormes.

Devenir puissant et se faire respecter pour qui il est, est un de ses buts premiers sans pour autant passer avant ceux de son « sauveur ».

18 ) Votre perso est-il dévot ?

Croire en la destinée ou autres choses de ce genre va totalement à l’encontre même de la mentalité de ce garçon. Il n’a dû compter que sur son savoir et ses atouts pour survivre, pas sur la chance ou sur une quelconque puissance extérieure. C’est grâce à sa volonté de vivre et à sa seule force qu’il a réussi à se tirer de nombreuses et malheureuses situations alors… Que les riches ou les enfants choyés y croient s’ils le veulent, ils n’en seront que plus faciles à détrousser ou neutraliser.

19) Si vous le pouviez, quel conseil donneriez-vous a votre personnage ?

Ecoute bien, je ne souhaite pas te faire la morale, ce qui est fait est fait. Tu dois juste savoir qu’il arrive qu’une seule personne ne suffise pas à accomplir quelque chose et qu’il faut que tu te fasses à l’idée que te reposer un peu sur les autres ne fait pas si mal que cela. Autre chose, essaie de faire des exercices respiratoires parce que partir au quart de tour à la moindre remarque, il n’y a rien de mieux pour tomber tête la première dans un piège… Tu n’aimerais quand même pas te faire humilier de la sorte par des ninjas qui te sont inférieurs, n’est-ce pas ?

Et une dernière chose avant de partir… BAM N’essaie plus JAMAIS de faire les poches à des gens qui peuvent s’en rendre compte, c’est clair ? *Reprend son portefeuille*

Tiens ... je pensais que tu ne voulais pas de second perso

Belle présentation en tout cas

Ok , je penche pour chuunin .
J'attend le post de kanku pour statuer définitivement
en tout cas belle present

Merci beaucoup, ça me fait plaisir ^^

*attend la parole divine de Kankuro-sama pour faire le point sur la présentation*

D'ailleurs je ne pense pas être la seule personne à attendre son statut *regarde ailleurs*

Bon courage en Rp ^^

Zaku tu veux vraiment que je te mettes académicien n'est-ce pas ?

Bon ok on va être gentil : Chuunin !
On va dire que tu es un ninja de Orochimaru