Demande d'une équipe et d'un Sensei.

Après avoir quitter, le centre de recrutement, des rêves plein les yeux, il suivit les indications du garde. Il remonta la rue principale, les mains fourrées dans ses poches, son long manteau noir était porté par un vent faible. Il passa sa main dans ses cheveux pour se les remettre en place. La rue principale du village était bondée à cette heure de pointe. Les ninja étaient tous à cette heure en train de manger des ramens dans leurs restaurants ambulants préférés. Un fait sauta aux yeux du jeune shinobi était la diversité des habitants de Kiri no Kuni : on remarquait la présence de ninjas de tous les autres villages cachés. Marayuu dépassa les huttes faites de bois et de paille, fumantes et débordée, afin de poursuivre ce qu'il était venu faire : trouver un sensei et une équipe avec laquelle progresser.

Bon il m'a dit au bout de la rue principale. Je dois bientôt y être, mais on voit vraiment rien avec ce brouilla ...

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que surgit en face de lui une énorme construction à l'architecture différente de toute celle des maisons ou bâtiments qu'il avait croisé au part avant. L'entrée, gigantesque, était faite de deux portes de métal dont les poignées avaient la forme de deux gueules de dragons. La concentration de garde avait subitement augmentée. En effet en ces temps de guerre il fallait préserver et protéger le pouvoir exécutif et politique du village, pouvoirs représentés par le kage.

Le garde du centre de recrutement avait précisé que le kage, en son absence, était remplacé par un jounin du nom de Neji. Il semblait être une figure du village, mais Marayuu ne le connaissait du fait de sa récente arrivée au village. Il imaginait alors le ninja expérimenté comme quelqu'un de noble, digne et respecté.

Il poursuivit son entrée dans la demeure du chef et protecteur du village. L'absence de lumière naturelle extérieure avait contraint les gardes à éclairer l'intérieur du bâtiment central à l'aide de bougies disposes dans chaque recoins de la demeure.

Marayuu marchait lentement pour pouvoir admirer le bijou architectural que représentait la bâtisse. La nature et les travaux de l'homme s'y mélangeaient pour procurer au visiteur un sentiment unique, fruit de cette alchimie.

Après s'être perdu deux ou trois fois, Marayuu atteint enfin le lieu de son hypothétique recrutement. A son arrivé, un autre ninja était déjà présent. Ce dernier se retourna à son entrée dans la salle de l'intendant. Marayuu nota la présence du bandeau de Kiri no kuni.

Un autre ninja du village... Va t-il être un de mes coéquipier ?

La réponse à son interrogation allait plutôt être négative. En effet, l'autre ninja semblait plus expérimenté que lui, il dégageait une aura de chakra plus forte que la sienne.

Cela doit surement être un chuunin de Kiri

Finalement, Marayuu se présenta :

Bonjour, je me nomme Marayuu, du clan Biyun issue du petit village d'Oni au nord de notre pays. Je suis à la recherche d'un sensei et d'une équipe. A qui ai-je l'honneur.

Le chuunin se retourna et s'apprêta à répondre.

L'homme qui se tenait devant lui, derrière son bureau n'eut pas le temps de répondre qu'un nouvel arrivant fit son entrée. Aoshi le remarqua grâce au bruit que fit la porte par laquelle il était lui même entré.

Il entendit le jeune homme s'avancer vers lui, mais Aoshi ne se retourna pas immédiatement, il le gardait en vue d'un coin de son regard, il restait toujours fixé sur son premier interlocuteur premier.

C'est alors qu'Aoshi se rendit compte combien son entrée aurait pu se faire remarquer dans cette pièce. Le silence qui y reignait amplifiait chaque bruit, chaque mouvement. Même sans le regarder, Aoshi aurait pu suivre le déplacement de ce jeune homme, grâce au raisonnement qui s'élevait de chacun de ses pas. Il se risqua donc à jeter un regard à cette personne.

Tout comme lui, le garçon semblait faire parti du village de Kiri, au vu de son bandeau frontal. Mais il ne reflétait rien d'effrayant, au contraire, il avait une apparence innocente et insouciante. Quelqu'un qui émanait une certaine bonté. Bien que certains ninjas hauts gradés aient cette apparence eux aussi, Aoshi jugea que ce jeune homme ne devait pas être un ninja supérieur au rang de Chuunin.

Aoshi ne se retourna complètement vers lui quand ce dernier lui posa cette question :

Bonjour, je me nomme Marayuu, du clan Biyun issue du petit village d'Oni au nord de notre pays. Je suis à la recherche d'un sensei et d'une équipe. A qui ai-je l'honneur.

Se retrouvant face à son nouvel interlocuteur, Aoshi remarqua que ce dernier devait être un peu plus âgé que lui. Il jeta un rapide coup d'oeil à sa tenue vestimentaire avant de lui répondre aussi normalement qu'il le put.

Aoshi - Je m'apelle Aoshi Mishima, chuunin de Kiri.Il se trouve que je suis moi aussi à la recherche d'un sensei et d'un équipe... On m'a conseillé de m'adresser à la demeure du Mizukage. Je ne sais pas ce qu'ils vont en penser mais il se pourrait que nous soyons coéquipiers .

Aoshi eut un petit sourire et clot légèrement ses yeux. Il se retourna ensuite vers le bureau et l'homme à qui il devait faire part de son intégration dans une équipe. Attendant sa réponse.

Le chuunin , avec ces quelques paroles avait scotché le jeune genin. Marayuu lui rendit le sourire que le plus haut gradé lui avait envoyé. C'était la première fois qu'il voyait un chuunin et cette image resta gravé dans sa rétine.

Je vais peut-être faire équipe avec chuunin. Que demander de mieux pour progresser? pensa t-il avec un grand sourire.

Marayuu se sentait analysé de bas en haut par le chuunin. Un peu embarrassé, il passa sa main sur son long manteau noir, qui cachait la moitié inférieure de son visage et ne laissait apparaître que deux petits éclats d'émeraudes, pour le remettre en place. Il passa ensuite sa main dans ses cheveux, mi-longs et noirs, pour se recoiffé de sa marche matinale. A son tour il scruta son interlocuteur. Il portait un kimono de couleur d'un bleu sombre qui avec l'obscurité semblait noirs. Ses long et lisses cheveux noirs tombait sur le haut de son visage et cachaient de petits yeux d'un gris plutôt foncé. Son pantalon de kimono était ample et ne laissait rien paraître de sa musculature. Mais de part son grade plus élevé se méfiait :

Ce n'est pas parce qu'il à l'air plus frêle que moi que ça veut dire qu'il est plus faible, il est chuunin tout de même.

Son apparence et sa carrure posèrent une interrogation au genin sur l'âge de son supérieur hiérarchique. Il devait avoir dans les 15-16 ans à en juger par la finesse de son visage.

Il doit être doué, vraiment doué pour en être arrivé à ce grade à un si jeune âge.

Ou était-ce Marayuu qui avait du retard dans son enseignement de ninja. Cela devait être la réponse la plus probable. Il était vrai qu'il avait commencer son entraînement à l'âge de 16 ans et n'avait quitté le dojo familiale qu'il y a que quelques semaines. Son histoire personnelle était différente des autres ninja du village, il fallait s'y faire et continuer à avancer.

Impatient de débuter son entraînement il lâcha :

Bon il fait quoi, ce fameux intendant ?

HRP : Gooomeen Neji-kûn de râler

Néji continuait sa ronde journalière en arborant fièrement le bandeau du village de Kiri. Il venait de discuter avec un autre ninja qui était devenu son élève il s’agissait de Sumimura, un Genin du village de l’eau. En continuant de marcher dans les couloirs de la loge du Mizukage, il vit deux autres ninjas qui portaient le bandeau du village. Néji les regarda puis alla à leurs rencontre. Il avait entendu les présentations qui avaient été faites. D’après leur discussion il y avait un ninja qui se prénommait Aoshi qui était Chounin et un autre ninja qui s’appelait Marayuu, qui, quant à lui semblait être Genin comme il l’avait indiqué à Aoshi.

Marayuu dont la dernière phrase avait été mais il fait quoi ce fameux intendant, n’allait pas être déçut du voyage, Néji continuait sa longue marche et fut arrivé à leur rencontre, il leur tint se langage.

Bonjour, je me prénomme Néji intendant remplaçant du Mizukage qui ne devrait plus tarder d’arriver. Vous devez être Aoshi et Marayuu il me semble, on m’a avertit de votre arrivée. C’est pourquoi je suis présent devant vous.

Les deux ninjas regardaient l’intendant, fusse t il possible que les deux ninjas connaissaient Néji et sa célèbre pupille blanchâtre. Toujours était il que ces deux nouveaux arrivants pourraient sans doute lui rendre service soit en faisant des petites missions quotidiennes ou bien lui rendre le service d’aller saluer à Suna les ninjas qui ont élus résidence là bas. Ils pourraient également aller à la rencontre de Jiraya et de Baki qui, étaient peut être rentré de mission. Mais tout ceci allait se déterminer à la suite de la conversation. Néji qui était d’un naturel poli, les regarda et les invita se rendre dans une petite pièce où il y avait 4 chaises et une petite table. D’un geste courtois, il les invita à prendre place et d’une voix calme et sereine leur dit :

Très bien commençons qui puis je faire pour vous rendre service… ?

Néji continua de classer des papiers d’ordre de missions qu’il avait lui-même rédigés et du même coup qui était indéchiffrable de part son écriture pour le moins brouillonesque. Il annota quelques pages et attendant ce que les ninjas avaient à lui dire. Il était à la fois concentré sur son travail mais aussi attentif aux moindres choses qui seraient dit dans ce bureau.

Devant la présence du ninja de rang supérieur Marayuu baissa la tête et exécuta une sorte de révérence pour montrer sa reconnaissance à l'égard de Neji. Marayuu fût intrigué par l'intendant du Mizukage. Ce dernier était d'une taille et corpulence normal, mais ce qui attirait l'attention du genin était son regard. De prime abord il semblait totalement vide, en raison de la couleur des yeux du supérieur. Il se souvint maintenant de quelques histoires à propos d'un ninja au pupilles blanches qui s'était battu contre un des 4 du son, dont la dangerosité n'était plus à démontrer. Marayuu répondit le premier, dans le but de briser la glace entre les trois ninja de kiri :

Je me nomme Marayuu comme vous l'avez correctement annoncé. Je désirerais être sous la responsabilité d'un sensei et progresser dans une équipe d'autres ninjas.

Derrière son bureau l'intendant leva ses yeux et fixa le genin qui se sentit mal alèse pendant une courte durée. Puis sans attendre la réponse de Neji, Marayuu poursuivit :

En remontant la rue principale pour venir ici, j'ai entendu d'autres ninjas parler des soucis de Suna no kuni, et c'est avec honneur que j'accepterais de combattre à leur coté. Mais si mon destin n'est pas là-bas, je me porterai volontaire pour tout autres travaux.

Un petit sourire se dessina sur l'intendant. Sûrement devait-il se dire que ce jeune genin avait de l'énergie à revendre ou bien se moquait-il simplement de son ambition trop importante d'aller à Suna --surtout pour un genin qui ne maîtrisait pas toutes les subtilitées du combat-- .

Le chuunin qui était à coté de lui se tenait, comme depuis sa rencontre avec Marayuu, tout droit et écoutait en silence ce que le genin avait à demander. Un vent vrai s'engouffra dans la salle d'intendance. Les cheveux soulevés par ce vent sauvage, Neji se leva tout en gardant une main sur ses ordres de missions, afin que ceux-ci ne s'envolent pas, s'apprêta à rétorquer à la demande du jeune homme.

Aoshi assista à l'entrée d'un personnage haut en couleur, juste à la fin de la phrase de Marayuu. Son style vestimentaire plaisait à Aoshi. Mais ce qui l'intrigua le plus, ce furent ses yeux. Beaucoup de gens s'étonnaient de la pureté et de la profondeur du regard d'Aoshi. Mais ces gens n'avais sûrement encore jamais croisé le regard de cet homme. Bien qu'ils furent entièrement blancs, ces yeux donnaient au regard une sensation d'immensité et de profondeur infinie.

Aoshi cligna deux fois de suite des yeux afin de reprendre ses esprits. Il lui fallait être convainquant, cet homme était surement l'intendant du Mizukage. Aoshi se redressa, croisa les bras et regarda l'homme s'avancer vers eux.
Il dit aux deux jeunes Ninjas, qu'il s'appelait Neji, et approuva les soupçons d'Aoshi, il était en effet l'intendant du Mizukage.

Ce Neji était renseigné sur l'identité d'Aoshi et de Marayuu. Il leur demanda ensuite ce qu'il pouvait faire pour les aider.

Aoshi s'apprêta à répondre mais Marayuu fut plus rapide que lui. Le Genin affirma qu'il souhaiterai faire parti d'une équipe avec un Sensei à sa tête. Il dit aussi qu'il aimerait rencontrer des ninjas d'autre pays en particulier de Suna et que ce serait un honneur pour lui que de se battre à leur côtés.

Aoshi avait attendu la fin du discours de Marayuu avant d'entamer sa phrase, il s'avança, fit face à Neji et dit d'un ton reposé et calme.

Aoshi - Bonjour, je suis effectivement Aoshi Mishima, Chuunin de ce même village. Tout comme Marayuu je souhaiterai faire partie d'une équipe de Shinobis, sous la tutelle d'un Sensei afin de devenir plus fort et pouvoir aider à l'épanouissement de Kiri.

Il reprit son souffle et se balança légèrement d'une jambe sur l'autre avant de reprendre.

Aoshi -Je serai prêt à accepter toutes sortes de missions, de la garde d'enfants, à l'assassinat. Bien que des missions dangereuses et palpitantes m'intéresseraient plus.

Aoshi attendit à son tour la réponse de l'intendant du Mizukage. Il espérait de tout son coeur pouvoir débuter son entraînement dans les plus brefs délais. L'impatience marquait son esprit bien que, physiquement il restait calme, la mine blasée.

Néji écoutait très attentivement les réclamations des deux jeunes qui étaient devant lui. Il était clair qu’ils désiraient aller à Suna, ou tout du moins, aller dire bonjours à ce nouveau village qui était en train de se rebâtir. Néanmoins ce n’était pas une mission si palpitante, aller se renseigner sur les forces actives des villages. L’intendant était relativement prudent dans la mesure où il voulait savoir exactement combien d’hommes comportaient chaque village. Il ne pouvait donner comme mission à deux ninjas d’aller saluer un peuple. Pourquoi serait il deux, valait mieux diviser les hommes et en envoyer un à Suna et un autre à Konoha, pour bien identifier les faits et gestes de chaque village.

Il semblait opportun et de bon goût d’aller compter ces forces et d’essayer d’entendre les avis, les complots et les réactions des villages. La vie shinobi reprenant, il ne serait pas très bon de venir envahir un pays du moins pour le moment. C’est pourquoi, nous devions donner prérogative à la reconstruction mais tout en gardant un œil sur ce qu’il se passe dans les différents villages.

L’intendant reprit la parole et dit :

Mes chers shinobi, la priorité n’est point à l’assassinat ni à quelconque autres ordres de menaces sur d’autres villages, du moins pour le moment. J’ai bien une tache qui, m’arrangerai, que vous réalisiez, c’est un tache de recherches d’informations. L’un d’entre vous devra se rendre à konoha afin de déterminer les forces en présence et leur grade et que vous le donniez sous forme de cahier de note. L’autre d’entre vous devra se rendre à Suna afin d’établir le même procédé mais en plus vous devrez allez saluer le Sanin Baki si il a finit sa mission et que, avec lui vous remettiez un rapport sur la futur menace.

L’intendant continua de les fixer afin d’entendre le reste de leur ressentit puis leur précisa :

Je vois que vous êtes enthousiaste à l’idée de débuter votre mission de ninjas et bien soyez sur que cela m’enchante énormément, alors avez-vous des avis sur la mission que je vous assigne...? N'oubliez pas de vous partager les rôles, car je pense que deux ninjas à Konoha ou deux ninjas à Suna, pour aller chercher des informations est trop, mieux vaut bien réfléchir et bien étaler les troupes ninjas. Sachez également que la demeure du Mizukage peut être espionné, mais qu’il existe une zone où seul les ninjas de Kiri peuvent pénétrer, cette zone se trouve à l’est d’ici et s’appelle, « Force des ninjas de Kiri », chaque village possède en zone où seul les membres du village en question peut parler librement sans être sujet à un espionnage.

Néji à la fin de l’explication se tenait prêt à recevoir les opinions des deux ninjas devant lui.

Marayuu sentait une excitation qui provenait de l'intérieur et devenait crescendo. Sa vit palpitante de ninja allait débuter avec cette première mission de renseignement. La réflexion faite par l'intendant était des plus juste : deux ninjas pour aller à un village divisait l'efficacité du groupe dans sa quête de renseignements. Marayuu désirait vraiment aller à Suna no Kuni. Il avait beaucoup entendu parler de ce village à son arriver à Kiri. De plus ce serai l'occasion de rencontrer un sanin, ce qui motivait encore plus le genin. Il fixa l'intendant dans le blanc de ses yeux et s'exprima ainsi :

C'est avec le plus grand honneur que j'accomplirai la mission que vous nous assigner. Je me ferai votre informateur du mieux que je le puisse et représenterai le village où bon il vous semblera bon que j'aille.

Après ce rapide moment d'égocentrisme Marayuu revint les pieds sur terre. Il n'était pas seul : l'avis d'Aoshi importait autant, si ce n'était plus que le sien, en raison de son grade plus élevé. C'est alors qu'Aoshi prit la parole :

J'étais venu pour demander une équipe et un Sensei, me voilà avec une mission en solo dans un village caché. Ça me convient. Par contre, j'aimerai comparaître pour la mission la plus difficile à exécuter. Permet moi de dire ça mais étant donné que tu es Genin, il ne faudrait pas que trop de difficultés encombrent ton objectif principal. Ainsi Neji-Sama, où comptez vous m'envoyer ?

A la fin de la déclaration d'Aoshi, Marayuu se sentit comme mit de côté par le chuunin.

Hé il se prend pour qui le chuunin là ? Bon c'est vrai il est chuunin et moi que genin, mais si le sensei nous demande notre avis c'est que tout les deux on a le niveau.

Soudain Marayuu fît un constat : Il ne savait pas comment sortir du pays de l'eau, pays qu'il n'avait jamais quitter. Il était vrai qu'il avait une carte dans son sac mais elle ne lui serai d'aucune utilité car elle se limitait aux frontières du pays de l'eau. Il demanda alors à l'intendant :

Neji-sama comment quitte t-on le pays de l'eau? Et comment me rendre à Suna ou Konoha par la voie la plus courte?

Puis quelque chose tracassa le genin. Ce matin même il avait entendu aux marchants ambulants de ramens de la rue principale de sombre rumeurs à propos de Suna et d'une hypothétique invasion de la part d'un groupuscule. Son enthousiasme pris un coup, mais il ne renoncerai pas s'il devait aller à Suna. Tout de même, il déclara à l'intendant :

Est-il vrai que Suna est sujet à un assaut? Ce matin des ninjas de Kiri parlait de cela entre-eux et j'ai surpris la conversation en me dirigeant à votre bureau. Mais sachez que si vous me demandez de partir pour Suna je n'y renoncerai pas mais "un ninja avertit en vaut deux".

Cet élément allait sûrement déterminant dans la distribution des ordres de missions , puisqu'il semblait qu'un niveau plus élevé soit demandé pour aller à Suna en raison des affrontement qui s'y déroulaient. Les deux avis en main l'intendant allait pouvoir se prononcer sur l'attribution des missions.

HRP : Si il y a des incohérences désolé mais j'ai tapé le message avec un éditeur de texte à part et il semblerait qu'Aoshi est été plus rapide que moi pour répondre

Néji écoutait avec le plus de concentration possible et vit qu’un ninja avait essayé de prendre le dessus mentalement. L’intendant resta silencieux au niveau de cette approche mais continua tout de même d’écouter le reste des paroles qui sortait les deux ninjas essayant tout deux d’aller à Suna on ne sait pour quelle raison surtout que personne ne savait qu’il y avait une bataille pour la conquête de ce territoire. De plus il n’avait pas encore répondu sur le fait d’un potentiel senseï. Il se devait de remémorer les règles d’un bon ninjas envers son clan et envers tout autre ninja qui serait en face d’eux. Il prit une mince inspiration et prononça ces quelques mots

Nous sommes une seule et même patrie dés lors, lequel d’entre vous demeure le plus fort ou non, n’a que trop peu d’importance vous savez… Vous vous devez de vous soutenir et vous comparez niveau force et grade ne doit plus avoir lieu en ces lieux ni dans une quelconque partie du village.

Néji essayait de faire passer ces idées le plus clairement possible et il semblerait qu’ils aient tous deux compris. Par la suite Marayuu énonçait une bataille qui aurait lieu à Suna. L’intendant n’étant pas au courant le pu se prononcer sur ces rumeurs, peut être avait il peur, mais tant qu’aucune remontée d’informations n’avaient eut lieu il ne pu se prononcer sur ce sujet. Mais il est vrai que si une bataille avait lieu le problème se réglerait à la force physique, mais Suna n’avait rien envoyé à Kiri pour annoncer d’une telle chose. Puis l’anonce d’un sensei apparut dans la conversation Néji ne put que dire :

Vous savez avoir un senseï est une chose très importante dans la vie d’un shinobi, mais dans l’état actuel du village, il semblerait que nous soyons que 3 jounins mais, il est vrai que je sois le seul qui soit actuellement présent dans le village. Donc je vous propose ceci, avec votre accord je veux bien le devenir sachant que si vous souhaitez changer lorsqu’un nouveau jounin arrive je l’accepterais et ne verrais en cela aucun manquement à vos devoir de shinobis soyez en sur.

Dans l’immédiat Néji devait choisir qui envoyer dans quel village. Mais l’annonce de Marayuu si elle se révélait exact serait une mort certaine pour Marayuu car, si force avait été envoyé, elle serait de force violente et donc, l’ennemi n’enverrai pas de Genin, même si cela pourrait que donner de l’expérience au Genin. Il devait prendre une décision. En revanche, le point positif c’est que Suna n’est rien envoyé de tel, mais si il n’avait pas eut le temps ou si le moyen de communication avait été détruit dés lors, le village de Suna se retrouverai dans l’impossibilité physique de transmettre une missive urgente. Néji devait privilégier les habitants de Kiri Il leur tint se langage :

Alors mon choix est fait…

Il se gratta la tête et donne ces directives

Je ne peux être sur d’une menace envers le village de Suna, mais dans le doute, je ne souhaite pas envoyer un Genin car la mort serait annoncé haut et court et en tant qu’attendant, je ne désire pas prendre le risque, la vie d’un shinobi étant bien trop précieux. C’est pourquoi Aoshi partira dés l’aube en direction du village caché du sable pendant que tu te rendras chez nous voisin de Konoha afin de réaliser ta mission….

Néji se regratta le menton et continua…

…. Mais Aoshi, en cas de bataille, je veux que tu préviennes immédiatement notre village, si tu peux aider, tu aides sinon tu reviens sur le champ, je ne souhaite pas que tu meures ! Sinon pour aller à Konoha le plus simple est en sortant du village d'aller vers l'ouest, tu suis le chemin et tu y seras trés vite

Néji rengea ses feuilles et leur proposa de vaquer à leur occupations si il n’avait pas de questions, sinon il resterait en essayant de combler leurs interrogations…

Aoshi était plus que captivé par les dires de l'intendant du Mizukage. Il analysait chaque mot, chaque phrase pour comprendre l'expression dans sa plus totale intégrité. Cependant Aoshi sentit un reproche quand Neji annonça :

Nous sommes une seule et même patrie dés lors, lequel d’entre vous demeure le plus fort ou non, n’a que trop peu d’importance vous savez… Vous vous devez de vous soutenir et vous comparez niveau force et grade ne doit plus avoir lieu en ces lieux ni dans une quelconque partie du village.

Aoshi détourna légèrement le regard, gêné. Mais il ne dit rien, il attendit que Neji ait fini sa phrase.
Il dit ensuite d'une voix calme comme à son habitude.

Aoshi - Oui, excuse moi Marayuu si je t'ai touché. Ce n'était pas mon intention, loin de là.

Peu après, Neji entama le sujet à propos des Sensei. Aoshi se redressa et regarda l'intendant, dévoré par l'impatience, et l'enthousiasme.

Cette fois, il allait avoir du mal à garder son calme et à ne rien laisser paraître comme il savait si bien le faire. Mais quand Neji affirma qu'il était Jounin et qu'il pourrait prendre en charge l'entraînement de Marayuu et le sien, il écarquilla les yeux et un sourire se dessina sur sa bouche. Evidemment il ne put rester calme plus longtemps et dit, d'une voix la plus tranquille que son état el permettait :

Aoshi - C'est vrai ?! Euh, je veux dire, je serai ravi d'être votre élève Neji-sama. Si vous sentez venir le besoin de nous envoyer à un autre sensei, advienne que pourra, mais ma philosophie décrit qu'être l'élève d'un Ninja décrit un engagement bien plus important que le fait de partager quelques missions.

Ensuite, Neji confirma les doutes de Marayuu à propos des batailles. Un léger frisson d'excitation parcourut son corps et il sentait sa bouche sèche par la tension qui agissait sur son corps. Et finalement, le Jounin décida l'envoyer Aoshi à Suna et Marayuu à Konoha. Aoshi était heureux de partir vers le village caché du Sable mais il se sentait gêné par rapport à Marayuu qui avait précédemment montré son envie de rencontrer des Ninjas de Suna.

Neji ajouta qu'en cas de bataille, Aoshi devait prévenir immédiatement Kiri. Et que si il pouvait aider, il aiderait, sinon il devait rentrer au village. Le dernier Mishima sourit donc, il savait que si un combat éclatait, il serait pris dans la tourmente et ne pourrait s'empécher de défendre les alliés.

Aoshi - Vous serez prévenu. Je pourrai accompagner Marayuu jusqu'a un certain endroit, un même chemin conduit vers Suna et Konoha, si il est d'accord bien sur.

Aoshi se prépara au départ. Il devait partir demain dès l'aube ça lui laissait plus de temps que nécessaire pour se préparer. Cette journée aura eu le mérit d'avoir été pleine de surprises et de rebondissement pour le jeune Mishima....

Les sages paroles de Neji calmèrent la tension qui commençait à se créer entre les deux apprentis ninjas. L'ordre de mission ne tarda pas à tomber. Marayuu devait aller à konoha pour y faire un rapport sur les forces encore présentent dans le village. Il ne montra pas sa déception aux deux autres interlocuteurs. Il comprenait et approuvait la décision du supérieur, qui par mesure de sécurité avait joué la carte de la prudence. De plus la déception fût balayée par la joie immense qui s'empara du genin à l'annonce de Neji. Ce dernier avait accepter de devenir leurs sensei et Aoshi était maintenant son coéquipier. Il accepta les excuses qu'il avait formulé au part avant :

Oui, excuse moi Marayuu si je t'ai touché. Ce n'était pas mon intention, loin de là.

Et en réponse à ce geste il se tourna vers le chuunin avec un large sourire et lui tendit une main. Aoshi fît de même et tout deux se serrèrent la main amicalement. Puis Marayuu ajouta :

Félicitations pour ton ordre de mission, tu le méritait. Pour ce qui est de faire un bout du voyage ensemble je suis d'accord. Comme on dit "l'union fait la force" et il en est de même lorsque l'on est ninja, n'est-ce pas Neji-sensei ?

Neji lui sourit. Il devait être heureux que les deux ninjas aient compris ses paroles et le sens de sa phrase :

Nous sommes une seule et même patrie dés lors, lequel d’entre vous demeure le plus fort ou non, n’a que trop peu d’importance vous savez… Vous vous devez de vous soutenir et vous comparez niveau force et grade ne doit plus avoir lieu en ces lieux ni dans une quelconque partie du village.

Marayuu salua son nouveau sensei avec tout le respect qu'il pouvait attendre d'un élève. Il sortit son calpin et nota les indications de Neji sur la marche à suivre pour rejoindre le village caché de la feuille. Toujours les yeux rivés sur son carnet Marayuu y écrivit son ordre de mission :

Alors d'abord :
1) Aller à Konoha no Kuni
2) Faire un recensement des forces présentent là-bas et noter leur grade
3) Rédiger un rapport sous la forme d'un cahier.
Voilà qui promet des rebondissements.

Marayuu quitta la demeure du Mizukage et retrouva Aoshi dehors. Il lui fît un signe de la main comme pour lui dire de l'attendre, ce que le chuunin fît. Il lui tint alors ce language :

Maitenant que nous sommes coéquipiers, je voulais savoir où tu te loges à Kiri no kuni, je ne sais pas encore où dormir donc si t'as une idée, elle est la bien venue. Deplus où allons nous nous rencontrer pour partir demain et à quelle heure?

Aoshi commençait à être habitué au assaut -- si on pouvait parler ainsi-- de questions de la part du jeune genin curieux. Aoshi se retourna et s'apprêta à répondre.